Avec vos dons

Avant de partir nourrir les chats de Derek – mais j’ai des doutes sur le bain de mer : beaufort 8 aujourd’hui, et d’un vent de nord très très froid, pas encourageant – j’ai envie de vous montrer une partie de ce que je peux faire grâce à vos dons, et uniquement grâce à vos dons. Donc peu de blabla mais plein d’images…

Léa, toujours bien sage en attendant l’écuelle :

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Le coup de feu au restau « Les Chats de Syros », tout le monde attend, sagement, sans se disputer :

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Pendant la distribution, je ne peux évidemment pas faire de photos. Ci-dessous, la frénésie est un peu retombée, et on ne voit pas les chats mangeant dans le couloir. En bas, à gauche devant une écuelle verte, ma pauvre Demoiselle déjà bien maigre :

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Bizounours Puuuuur :

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Après le coup de feu, les retardataires – ou ceux qui n’aiment pas la cohue :

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Bizule ne mange que là :

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Et le repas des chats-de-dehors, que je distribue par grosses cuillérées dans de grands plats (en fait des dessous de pots de fleurs) :

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Un invité avec Zim :

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Oscar, aujourd’hui disparu, dans le poulailler-abri des chats :

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Après la bataille ! Et avant de ranger, faire la vaisselle, etc. :

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Une petite gâterie pour les gourmands (Petit Nouveau en était !) :

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Et une petite photo de Petit Nouveau, équilibriste comme toujours. L’été, une chose essentielle est de faire des réserves d’eau, j’en manque chroniquement. Mais les seaux font de bons abreuvoirs pour les chats et Alithia, bien sûr.

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Voilà. Une partie de ce que vous par vos dons et votre soutien et moi par mon « travail », mon affection et mon entêtement faisons pour que ces chats vivent heureux et en bonne santé… Merci pour eux, merci pour moi.

 

6 thoughts on “Avec vos dons

  1. Courage, Zozé… tiens-bon la barre de ta petite embarcation « terrienne » .
    Quant à Petit Nouveau, il poussait l’élégance jusqu’à choisir des endroits assortis à son pelage ;o).

    • oui, élégant comme toujours le Petit Nouveau, même si tout tordu. bizarrement il était vraiment très très tordu et pourtant c’est lui qui s’installait dans les endroits les plus improbables, et il y restait. là, sur ces baquets, il passait de l’un à l’autre, buvait, et finissait par y rester pour contempler le monde.
      ok, je tiens bon la barre, my name is « moussaillonne-zoze » ! merci clo !

  2. Bon ben voilà… je démarre cette journée augmentée d’une heure avec les yeux dans le brouillard…
    Mais le cœur léger. Grâce à toi. Merci Sa Majesté !

    ;-)

  3. A chaque lecture, rien à faire…. je pleure… je le redis, je n’irai jamais dans des pays où l’on voit tant de misère… je fais Londres, Bruxelles, Pragues, Rome, L’irlande, (ou le car s’arrête pour laisser passer trois ou quatre moutons…) pas de coup de klaxon, on supporte, on attend patiemment..les grandes villes où l’on cache la misère… mais elle est présente.. je suis lasse de la misère, animale et humaine… Mais, je dois dire que vous êtes pleine d’un courage, que je n’ai pas… je vous embrasse… Merci pour les photos.. J’ai reconnu quelques pensionnaires… Je vois que le petit hérisson s’en est bien sorti… formidable… Anne (trop trop sensible, je tiens cela de mes parents-mauvaise hérédité, car Dieu que l’on est malheureux..)

    • faut pas croire, autant j’assume les chats qui au bout de leur chemin me trouvent, autant je fuis souvent, je refuse de « voir ». je suis persuadée que les chiens qui (sur)vivent chez le chasseur en face de chez moi de l’autre côté de la vallée sont de pauvres toutous qui ont une vie vraiment misérable. et je suis sûre qu’alithia vient de là. mais je n’y vais pas, pour casser la gueule du salopiaud en face, je ne vais même pas « constater » l’horreur. et tant de choses comme ça. je crois qu’on se connaît suffisamment pour savoir jusqu’où on peut aller dans la constatation, et qu’ensuite on doit se protéger. trop souffrir ne sert qu’à nous paralyser d’horreur. vous faites déjà beaucoup anne-marie, malgré votre coeur trop sensible.

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