Pour les non-anglophones, et comme j’ai la flemme de traduire, un site à visiter, descendre un peu et regarder les photos. Attention, c’est insoutenable. Mais quelque part, il faut une fois ou l’autre BIEN regarder, les yeux grands ouverts, ce que l’homme fait au nom du fric et de l’estomac. Et se demander ensuite, en se regardant les yeux dans les yeux devant un miroir ceci :
« Suis-je si rare, si précieux, si unique, si miraculeux, si choisi pour mériter et être digne d’autant de souffrances, d’autant de peur, d’autant de morts ? ».
Je souhaite, du fond du coeur, que vous y répondiez en toute conscience. Continue reading