La brouette et la descendante du singe

Pas grand-chose à raconter, parce que trop de choses justement. Des choses chouettes et des très tristes. Alors pour m’amuser un brin, j’ai fait une petite vidéo : la brouette, les courses, et une chanson toujours de circonstance (il faut laisser le son)…

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Bon, allez, quelques photos quand même, déjà vues par les gens qui me suivent sur FB

Lipopette

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Aluna

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Fotia dans ses moments d’affection débordante où elle me râpe chaque centimètre carré de la trogne avec sa langue incroyablement râpeuse, tout en me labourant les épaules avec ses griffes pour mieux assurer sa prise

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Ouf !

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Et pour les gens qui ont entendu parler du séisme à KOS et qui se demandent si ça a aussi bougé ici, une photo très rassurante : les séismes significatifs depuis 2003 – rien, que dalle, tipota dans l’Egée Centrale. Jamais (encore qu’il ne faut jamais dire jamais) d’épicentre par ici, juste les effets de l’onde de choc.

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Et voilà la petite vidéo :

J’espère que vous passez un bel été !

 

10 thoughts on “La brouette et la descendante du singe

  1. 20 kg : je ne les porte pas ! et une bien jolie robe… Alitheia à son affaire et bien sûr les chats à l’ombre. Très chouette video.

    • la robe, c’est moi que je l’ai faite, lalala, je me sidère encore d’avoir pu faire ça. elle cache pas mon gros cul, mais c’est le plus frais que j’ai à disposition, sinon c’est le slip soustinge, mais ça en vidéo sur le blog seulement sous la torture – ou à poil sur ma plage à poils, là tout le monde s’en fout. quant aux 20kg, des fois je transporte et porte une bonne 100aine de kilos comme ça. bon, je le fais pas tous les jours.
      alitheia est très embêtée par la mère chatte, qui lui claque le museau à un moment donné : elle voudrait bien faire amitié avec les chatons, mais la tigresse veille au grain.
      argh, quand je pense avec cette canicule revenue que, à l’instant, j’ai 3 sacs du même tonneau en train de chauffer dans la bagnole… mais j’attends la nuit, il fait de nouveau une chaleur intenable.

  2. comme toujours

    dès que je vois un nouvel article de toi, je me réjouis comme une gamine,
    je laisse tout tomber et m’accorde ce moment de pause…

    tu sais toujours si bien évoquer les choses..magnifique ce petit Lipopette
    et si bien montée, drôle ta vidéo avec la chanson de Gilles & Urfer,
    surtout à la fin quand tu entrecoupes des extraits de silence…Eh oui voilà où mène les études !
    transporter des wagons de croquettes et de boîtes sous les yeux de ces créatures qui n’en foutent pas une !

    mais Alithia prend son rôle de guide très au sérieux !

    je t’envie ton cagnard, tu peux pas savoir, ici c’est 15 degrés en ce moment et pluie pendant 3 jours, après ça ira de nouveau mieux, mais on se dirige de toute façon vers la saison des chaussettes, des pulls, de rester à l’intérieur, tout ce que je déteste ! ¨

    alors aujourd’hui je résiste et travaille dehors, juste à l’abri sous l’avant toit de la cuisine

    Mais je me réjouis de retrouver la chaleur et l’été au Japon en septembre et octobre où j’aurai encore des 30 degrés et une mer de Chien à 27….

    Baci baci, tu as une très belle mine ! si colorée !

    Ana aux pieds glacés !

    • oui oui, tu envies ma sueur car tu as les pieds gelés dans tes montagnes…
      lipopette c’est une fille, en fait c’est « ça perle, lipopette ! » (et sa mère c’est tagada tsoin-tsoin)
      ouais, voilà où mènent les études, à cet esclavage librement consenti à l’insu de mon plein gré ;-)
      chouette de te lire ici, comme toujours

  3. Que d’exercice ! Comment peux-tu parler d’un gros cul … plein de courgettes ;-)

    C’est une chouette vidéo. Tu es très douée … comment te filmes-tu ?, le montage, les fondus-enchaînés … Ta vie consacrée à ces ingrats (?), quoique …

    Je me demande souvent ce que pensent les miens (maintenant, plus que 7 car j’en ai perdu une récemment) à me voir bouger, partir travailler (faut bien payer la nourriture, mais surtout les soins), rentrer énervée le soir, alors qu’ils sont là, alanguis à attendre le bruit de la porte de la pièce où sont les boîtes et les croquettes, ou celle du frigo qui s’ouvre sur la bonne odeur des boîtes ouvertes, des écuelles non terminées (oui, cela arrive) et du fromage (je ne leur en donne quasi jamais à cause du sel et des diarrhées, donc, juste, de temps en temps, quelques brins de fromage râpé).

    Quand je reviens du boulot (ces 2 dernières années ont été horribles), je dépose mon sac à dos dans le corridor et je m’accroupis faire un câlin à ceux qui viennent m’accueillir et, ce faisant, je dépose les (l)armes, souvent, je pleure de soulagement.

    Je suis si heureuse de les retrouver, si émue à chaque fois de sentir leur pelage quand je les caresse ou qu’ils me frôlent. Je reconnais chacun d’eux, à sa fourrure, à sa façon de me toucher, à son pas dans les escaliers, son poids sur la couette (dont le duvet est surtout dehors ;-)) … et forcément, sa voix.

    Plus que 4 fois dormir et je suis en congé puis à la retraite. Je sais que vendredi soir, quand j’aurais tout déposé, au propre comme au figuré, je vais passer un bon moment à pleurer d’apaisement et de joie.

    Perso, j’adore aussi la chaleur, même quand elle est accablante. J’ai travaillé ainsi pendant une dizaine de jours dans un avion chauffé à blanc en Afrique, les autres étaient à l’article de la mort, même plus le souffle pour se plaindre, je les agaçais à aller à gauche, à droite, primesautière, alors qu’ils étaient là, échoués, à attendre la nuit, guère moins chaude. Mais il vrai que j’ai dormi une nuit près du bivouac mais déjà dans le désert, et que j’ai bien supporté mon « sarcouchage ».

    En 2000, après juin dans la marina Alimos à Athènes, j’ai vécu 3 mois à Santorin que je parcourais tous les jours de haut en bas, dans tous les sens du terme, surtout à vélo mais aussi à pied, chercher mon pain à Oia (nord) alors que je logeais au sud, mes nectarines à Emborio, pour aller boire un café à Thira où à Périssa, admirer le point de vue depuis le phare …

    Je me souviens de mes randonnées à pied, je m’enlisais dans le « sable » des falaises dont je ressortais trempée de sueur recouverte de la poudre du sol pour entrer telle quelle dans la mer.

    Tout cela, sous un soleil de plomb dans un ciel blanc, des souvenirs éblouissants même s’ils ne sont pas tous bons.

    Un été de fièvre.

  4. Eh laraleuse, c’est bête hein, mais tu vas devoir changer de pseudo quand tu seras à la retraite.

    (et surtout ouvrir un blog avec une existence si bien remplie ?)

  5. bonjour Sylvie, hier j’ai regardé la vidéo super sympa sans musique, pour ne pas déranger, mais ce matin, avec musique que je connaissais pas et je vais m’empresser de copier les paroles et d’apprendre la chanson.. Et dire qu’il y en a qui paie pour la musculation, dans salle climatisée…. vous c’est gratuit et sous le soleil s’il vous plait… j’espère que tout va bien.. je vous embrasse – votre amie… A-M

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