Le post précédent était plein de moi, et plein de boucles dans ce parcours étrange et pourtant très beau qu’est la vie. Je reviens maintenant à cette boucle amorcée il y a 14 ans, une vie (encore une, je suis à cet égard assez chat dans mes vies successives) à laquelle je ne m’étais pourtant pas préparée, et une vie que je ne suis pas certaine d’avoir voulue, même si je l’accepte non pas avec fatalisme mais le plus souvent (je ne vous cache pas que ce n’est pas « toujours ») avec une certaine joie. Ce post-ci sera donc consacré (tatataaaaaa) : aux CHATS.
(PS : j’ai modifié cette intro suite à de nombreuses protestations, « Quoi ? Comment ça pas enthousiaste ? Mais on l’aime ton texte sur les boucles, mais comme c’est un voyage intérieur bien qu’extérieur, c’est difficile de commenter ». Ok, ok, c’est vrai, je reconnais que commenter mes boucles, ce n’était pas facile ! Alors je prends acte et modifie en conséquence)
Loulou
Myrto
Elle est totalement aveugle. Avec sa maman-chat et son frérot, elle a beaucoup parcouru, exploré, mémorisé l’environnement immédiat de la maison, et a même passé des heures dans le champ du bas alors que nous étions encore en pleine canicule. Comme très souvent, haut perchée, probablement une position de sécurité. J’en admire infiniment son esprit aventurier, parce que grimper sans rien voir, puis redescendre sans rien voir… Elle se débrouille merveilleusement bien, répond amicalement (« mi ! ») à ma voix, la suit volontiers, et est une amatrice gourmande de la papouille ventrale.
C’est dans l’olivier que je la trouve maintenant le plus souvent, quand je la cherche affolée en craignant le pire !
Mais elle a découvert récemment le petit « lit » de l’entrée, et c’est là qu’elle s’est réfugiée lorsqu’il a plu des trombes avant hier (voir plus loin)
Maintenant que la maman-chat a délaissé ses petits (mais elle s’est vraiment bien occupé de sa chatonne, elle semblait avoir conscience de son handicap, par exemple l’attendait quand les trois remontaient du champ du bas), le petit frère (que je ne peux pas encore toucher) est très très souvent avec Myrto, il semble s’en (pré)occuper et mange toujours avec elle. C’est le seul chat avec lequel elle a des relations physiques, sinon elle couche les oreilles et paraît méfiante ou craintive. La cécité est toujours un problème lorsqu’il y a plusieurs chats avec le chat aveugle : celui-ci ne respecte pas les règles de proxémie entre individus et se reçoit plus que souvent des coups de pattes avertisseurs : « là, tu vas trop loin »
Ce matin, j’ai décidé de commencer à la faire entrer, pour que, lorsque le mauvais temps arrivera, elle sache qu’elle peut trouver dedans un abri. Mais elle doit apprendre à se déplacer et à se repérer dans la pièce. Je l’ai donc appelée, et l’ai conduite, en lui maintenant le ventre tout en lui laissant les pattes sur le sol (une sorte de marche avec déambulateur humain…), tout autour de cette pièce avant de la faire ressortir de la même manière. Je suis partie faire la vaisselle et voilà ce que j’ai vu en me retournant : elle est rentrée d’elle-même, et a même poussé plus loin l’exploration ! Je suis très très contente.
Lauranne
Laurent dit en grec, hahaha. C’est mon très chouchou, celui-là même qui m’avait, le salopiaud, transpercé les pouces quand j’essayais de le soigner alors qu’il vivait encore en famille dehors, côté nord vers le mimosa, avec sa rouquine délurée de mère, sa soeur tricolore, son frère ou sa soeur tigréE (pas encore réussi à l’apprivoiser) et les deux petits plus jeunes de 10/15 jours qui avaient été abandonnés par leur mère pas loin, et que la rouquine avait adoptés. Maintenant, Lauranne, qui est extrêmement bavard, ronronneur et affectueux, me fait des S entre les pieds quand je marche et dort sur ma main la nuit.
La soeur tricolore
Bizarrement, et ce n’est pas le premier chat avec lequel que je constate la chose, elle a commencé à se laisser toucher (et plus si affinités) au cours d’une promenade en grande famille sur les champs du dessus au crépuscule. Les chats adorent qu’on les emmène en balade, et s’il y a un peu de vent, c’est encore mieux : ils jouent ensemble à des jeux genre saute-chats, courent comme des fous, interagissent beaucoup entre eux, et aussi me tournent autour. Elle n’a pas été en reste, et j’ai profité d’un moment où elle me précédait en se hâtant lentement pour la caresser : au début, air scandalisé de la belle, elle s’enfuit, puis revient se hâter lentement juste devant mes pieds, je la retouche et c’est bon, le contact est établi. Maintenant, elle dort paisiblement dans la maison.
Avec le petit frère ou la petite soeur (probablement une femelle, il y a un peu de roux dans ses tigrures). Cette dernière est malade, mais je ne peux rien faire tant qu’elle me fuit, ou fuit la nourriture que je lui donne exprès.
Mirsini et sa soeur
Soeur qui n’a pas encore de nom non plus
Une des deux petites adoptées par la rouquine délurée. Pendant toute leur enfance, à part les moments de jeux collectifs de la famille recomposée de cinq chatons, à part les moments de tétées, puis de repas à l’assiette collective, les petits ont dormi par famille biologique, les trois de la rouquine d’un côté, les deux adoptés de l’autre. Maintenant qu’ils sont pré-ados, voire ados, chacunE dort dans son coin, ou par affinités qui n’ont plus rien à voir avec cette famille de départ
Mirsini
Infinie chouchoute.
Elle est exquise, ravissante, à la fois affectueuse et distante, et de tous les chatons, c’est la première à m’avoir fait confiance
Ils me donnent bien du souci ces deux petits adoptés. Encore un peu trop maigres à mon goût, les yeux très souvent légèrement voilés, salis par un peu de pus. Je les ai soignés pendant toute leur enfance (gouttes, antibiotiques), parfois malades jusqu’à ne plus s’alimenter ni boire. Et je surveille cette petite Mirsini comme le lait sur le feu
Lipopette
La très jolie et aimable. Un temps, pendant sa petite enfance avec sa maman-chat Tagada, j’arrivais à la caresser, puis elle a commencé à me fuir, surtout parce qu’elle était allée s’installer dans le verger de Fifis : loin des yeux, loin des caresses. Mais hier, lors de notre balade quasi nocturne, j’ai pu la papouiller comme la petite tricolore, j’ai donc bon espoir !
Syra
Pour l’instant, cette petite chatte que j’ai recueillie se cache dans mon bordel de cartons, sacs, fenêtres retirées pendant l’été de la grande pièce où je mets la bouffe pour les chats et où je prépare les repas, cela fait une semaine qu’elle se planque dans ce bien triste maquis, mais elle a à boire, à manger et même deux caisses à disposition. Je n’étais pas sûre qu’elle ne s’était pas enfuie, mais non. Donc chaque fois qu’elle daignera montrer son museau et ses grands grands yeux, je lui donnerai une petite bouffe « spéciale » rien qu’à elle, jusqu’à ce qu’elle se décide à cesser de bouder et à découvrir ce côté-ci du vaste monde de Syros !
N’a pas encore de nom
Un petit père ou une petite mère qui a fini par trouver la porte d’entrée et les joies des explorations de maison après avoir passé tout l’été très sauvage vers le poulailler à chats
Un crève coeur : pourtant, c’était le 11 septembre que j’ai pris ces photos, et je l’ai portée reposer dans la garrigue il y a 3 jours (comme ces moments sont pénibles où je transporte ces corps raides, à leur chercher un bel endroit pour y passer l’éternité). C’était un très joli couple, toujours ensemble sur le toit du poulailler, ou dans le champ en bas, ils marchaient ainsi côte à côte, dormaient enlacés. La chatte était borgne (j’imagine un coup de griffe sur une cornée qui s’était épaissie) et tirait bizarrement la langue, toujours ce petit bout de la langue… Elle a disparu quelques jours, et, de retour, est entrée dans la maison et est morte en une journée. Je n’ai pas l’impression qu’elle ait été empoisonnée. Peut-être ce petit bout de langue était-il le symptôme de quelque chose d’autre ?
Bizounours
Son cancer (glande salivaire probablement) grossit. Mais il reste beau gosse, mange bien, profite du soleil, est toujours impeccable de poil, fait le chat alpha territorial comme il sait si bien le faire. Gavroche, mon amie et première présidente de l’association, m’a envoyé du gui fermenté, pour essayer de freiner cette saloperie. J’en avais déjà injecté une série à la mère de Bizounours, la très belle Léa, somptueuse chatte persane mais pas trop, qui elle avait un cancer dans l’oreille, tout aussi inopérable : j’avais eu l’impression que cela avait freiné le développement de la tumeur. Faute d’autre chose, sur Bizounours, je fais les injections dans la zone proche de la mâchoire, la tumeur grossit mais ne l’handicape pas encore au point de devoir le faire euthanasier, et je croise les doigts pour que ça dure le plus longtemps possible. L’issue ne fait aucun doute, mais le plus tard possible, s’il te plaît Artémis !
Des couchers de soleil à rayons, je trouve magnifique !
On voit presque mieux ces rayons en inversant les couleurs.
Le très tôt matin de la dernière pleine lune de l’été, il y a si longtemps déjà, à l’ouest elle se couche, et à l’est les premières lueurs du soleil. mais dans mon ciel, ils ne se croiseront pas. Je me demande d’ailleurs s’il est possible de voir la pleine lune se coucher alors que le soleil se lève… Cela doit doit arriver, j’imagine.
La pluie sur Chroussa
Au matin, il y a 2 jours, je vois ce nuage que je soupçonne immédiatement d’avoir de pluvieuses pensées.
Cela n’a pas loupé : toute la matinée, un déluge, pour une fois vertical car pas un souffle de vent pour pousser les nuages ailleurs. D’un côté, ce fut une joie : la nature a tellement souffert de cet été interminable et surtout caniculaire qu’un bon déluge de grosses gouttes, c’était pas de refus. Mais pour tous les chatons nés ce printemps, c’était leurs premiers nuages, pour ainsi dire, et surtout leur première pluie. Et pas du crachin nonchalant, hein ? Des flots de pluie. Alors tout ce petit monde courait affolé, ne sachant où se mettre, me regardant l’air accusateur comme pour dire « Mais Super Maman-chat, tu nous fais quoi, là ? Bêêêêê, ça mouille !!!! C’est quand que ça s’arrête ? » Et je n’ai pas eu le coeur de leur dire que ce n’était que le début.
Le truc marrant, c’est qu’il n’a pas plu sur ma plage préférée, ni ailleurs à l’ouest ni au nord de l’île, pas une goutte non plus à ma connaissance sur Tinos.
Mais l’automne est bien là, les hirondelles et les guêpiers sont partis, les feuilles des vignes brunissent et tombent, et je crois qu’on a toutes et tous ajouté une ou plusieurs couches sur les lits… Toutefois, les journées, quand il n’y a pas trop de vent, sont encore chaudes et belles, là, j’ai un Tshirt à manches longues, c’est vrai, mais je suis jambes nues, et toutes les portes et les fenêtres sont encore grandes ouvertes.
Voilà. Et, last but not least, Pool-Pot se refait les plumes, et me refait son oeuf/jour : énormes, goûteux, et j’arrive, quand elle est un peu dans le potage d’un demi-sommeil, à la caresser !
L’épisode précédent étant un voyage intérieur… je l’ai lu et ai compris ta boucle bouclée. Mais c’était un voyage intérieur… important et « meaningfull » pour toi. Donc dire quoi après ?
Maintenant, je peux te dire que j’espère vraiment que Bizounours ne souffrira pas… Ca me rappelle ma Chatila qui avait eu la même saloperie, et qui avait commencé à baver et à avoir un poil très très triste pour une persane… que j’ai dû faire euthanasier. Bien triste.
Pour les autres, tu es vraiment une experte en instantanées de chats… j’aime beaucoup le « petit apeuré » dont on dirait qu’il joue à cache-cache, sur la photo.
tu as raison, quoi dire après un voyage intérieur qu’on partage, c’est vrai…
chatila a eu la même chose ? je me rappelais pas. vraiment, je le surveille lui aussi beaucoup et il n’a vraiment pas l’air de souffrir. il est tel qu’en lui-même, splendide. mais oui, là, alors que souvent j’ai du mal à décider é’euthamasie, je n’hésiterai pas.
le petit apeuré, Syra, joue vraiment à cache cache. enfin « joue »… c’est beaucoup dire. elle se cache quoi ! j’espère que ça lui passera avant que le mauvais temps commence vraiment, pour qu’elle puisse quand même un peu découvrir et profiter de l’extérieur !
Oh le gros nuage, comme un chien ou un gros monstre sympathique au-dessus des collines. Myrto, c’est bien un truc de chat aveugle, grimper dans les branches les plus embrouillées… Mirsini est une beauté. Et belle photo de Bizounours, oui Artemis fais quelque chose.
en fait, c’est myrsini, la mère arbre d’adonis, selon les versions. mais aussi c’est une variante de… myrto ! qui était une amazone, selon les versions, épouse d’hermès. mais adonis peut être aussi fils de myrrha, et la myrrhe et le myrte… voilà voilà voilà…
aussi, je copie : Το όνομα Μυρσίνη, ήταν παλιά το πιο χαρακτηριστικό γυναικείο όνομα, δηλωτικό της καταγωγής από τη Λέσβο. Η Μυρσίνη, η Μυρσίνα ή Μερσίνα, η Μυρσινούλα, η Μυρτώ, η Μύρτα, η Μυρτιά, η Μυρτούλα, η Μυρσινιώ>Μυρσ’νιώ ή το Μυρσινιώ, του Μυρσινέλ’>λεσβ. Μυρσ’νέλ’, το Μυρσινάκι>Μερσινάκι>Μερρινάκι οι παραλλαγές του ονόματος σε θηλυκό ή ουδέτερο γένος τα υποκοριστικά του. et pour confirmer tout ça, je copie : Στην αρχαία Ελλάδα η λέξη μυρσίνη (Διοσκουρίδης/40-90 μ.Χ.), μυρρίνη ή μύρρινος (Θεόφραστος/371-287 ή 285 π.Χ.), μυρτίνη (Πίνδαρος/522-443 π.Χ.), μύρτος σήμαινε αειθαλής θάμνος με αρωματικά φύλλα και καρπούς, τα μύρτα, από τα οποία έφτιαχναν το μύρο, που το χρησιμοποιούσαν για το βαλσάμωμα των νεκρών. Αναφορές σε αυτήν έχουμε ακόμα από τον Ιπποκράτη (460-377 π.Χ.), τον Πλίνιο (23-79 μ.Χ.), καθώς και Άραβες συγγραφείς. Οι Πυθαγόριοι συνήθιζαν να τοποθετούν τους νεκρούς πάνω σε στρώμα από φύλλα μυρτιάς, ελιάς και λεύκας. Απολιθωμένα μύρτα 26 εκατομμυρίων χρόνων βρέθηκαν στην Κύμη της Εύβοιας. Θαυμάσια κοσμήματα με χρυσά φύλλα και καρπούς μυρτιάς έχουν βρεθεί σε αρχαίους τάφους.()
hihihihi
ça y est, j’ai colmaté les trous de ma pipe à bois (voire plus que des trous. en fait, elle est bouffée par la rouille) au scotch métallisé, prête pour une petite flambée ! mais
Merci Sylvie pour ce texte Myrto/Myrsini, c’est riche, je traduis à tête reposée et c’est d’autant plus intéressant qu’il y a ici un village de ce nom… Allez, je vais faire ma savante. Oui ça sent la flambée, un cargo est amarré au large d’une plage en dessous, signe de gros beaufort à venir… et un pull n’est pas de trop. Elle doit être jolie ta pipe avec ses décos argentées ? .
Sylvie, j’ai lu, bien sûr, ton texte précédent. Parfois, on ne trouve pas les mots pour dire son bonheur à lire, les sentiments que celà réveille en nous.
Je ne me lasse jamais de ta prose, de tes photos, de tes références.
MERCI..
merci à toi mille fois maryse. oui, plusieurs lectrices.teurs du blog ont protesté, mais siiiii on a aimé ta balade. donc je modifierai peut-être cette intro, qui est injuste et qui du coup ressort plus comme une agacerie provocante qu’autre chose. ce que je ne veux ni ne cherche…
Merci Sylvie pour toutes ces belles photos et les commentaires qui vont avec…
C’est que du bonheur, bonheur d’autant plus grand que « notre » petite Syra a montré le bout de son nez.
Tendrement
Sabine & P.-André
aujourd’hui, je n’ai aperçu que son ombre chinoise tout au fond de ce petit couloir bordélique qu’elle a élu comme refuge. je lui ai glissé là-dessous de la nourriture qu’elle a mangé. et tant que l’estomac va, tout va !! mais ça va prendre du temps, c’était trop en même temps pour cette petite poussine. tendrement également à vous deux.
c’est pas vrai, ton texte précédent était l’un des plus beaux que tu as écrit !!!!
merci ana-san ! tu vois, j’ai corrigé l’intro !
Et pis c’est pas parce qu’on écrit pas :
– qu’on ne lit pas
– qu’on apprécie pas ce qu’on lit, même si des fois, ça nous rend triste
– qu’on ne t’aime pas… !
Nanmého.
;-))
mais tu sais bien comme sont les âmes simples : elles ont besoin qu’on leur dise qu’on les aime ;-) en plus j’attends pas de longs commentaires, mais un « super tes photos/texte » me fait vraiment plaisir.
Si toi tu es une âme simple, alors moi, je suis bonne soeur … :-)
Et sinon pour la rouquine furtive, ben voilà, j’avais trouvé « grands yeux », mais « rouquine furtive » c’est pas mal aussi. Surtout que tu aimes les noms compliqués ou foutraques, ou les deux…
ça y est, la petite furtive a un nom, c’est SYRA (qui est aussi le nom de syros). toujours impossible de la regarder trop de face, mais la nuit passée, elle est venue se coucher sur mon lit (avant que je m’y mette bien sûr) : son univers s’élargit progressivement, même si je n’en fais pas encore partie
et sisi, en fait, je suis assez simple, mais avec beaucoup de couches ;-)))))))) ce qui laisse ouverte la possibilité que quelque part, tu sois bonne soeur : chouette !
je t’embrasse ma gavrochounette
Puisque je suis bel et bien privé d’e-mail privatifs de ta part, involontairement certes mais très mystérieusement aussi, je te le redis, là, comme ça devant tout l’monde : je t’aime et tes photos sont sublimes !
Là voilà tu l’auras bien cherché !
;-))
mais écoute, c’est dingue cette histoire !! à la bonne @dresse, je t’ai envoyé une bonne demi-douzaine de mails ! je viens de t’en envoyer un, pour voir. tu es sûr de ton côté qu’il y a pas un bitougnot que tu as cliqué genre poubelle directe ? sache que je suis vraiment désolée et que devant tout le monde je te réponds que moi aussi je t’aime ! et que je t’embrasse !!
Ah oui c’est dingue ! J’ai vérifié les filtres dans ma messagerie : rien. Dans mes « indésirables » rien non plus.
Mystère, mystère… Même si l’amour est un mystère… il pourrait faire exception de temps en temps non ?
:-(
donc tu as pas reçu le mail que je t’ai envoyé juste avant de mettre mon commentaire auquel tu réponds ici ??? je me demande si c’est en lien avec la fois où ton #dresse avait été piratée.
ça y est, j’ai envoyé un mail réponse sur cette nouvelle adresse
bon… nouvelle formule pour envoyer le don… ne fonctionne pas… belles photos.. je vous embrasse A-M