Ben, rien de spécial. Je fais des hauts et des bas dans mon marigot, j’essaie de ménager les chats, pas leur polluer la vie avec mes affres.

Rien dire de spécial, sinon que Paul, qui héberge le site, m’a soufflé une bonne idée : l’adoption (encore que je préfère l’idée de parrainage) de chats, en me mettant en contact avec Michèle et Sara, qui ont d’ores et déjà adopté Nekosan ! Je ferai un post pour vous raconter.

Autre thème, la vacance de présidence de l’association. Est-ce que cela intéresse quelqu’unE parmi vous ? Faute de trouver parmi les amiEs prochissimes, je dois élargir de champ de recherche pour remplacer mon irremplaçable et précieuse présidente Gavroche, qui est happée par des problématiques personnelles et ne peut plus assurer la présidence des Chats de Syros. Je le ferais volontiers, mais il faut quelqu’unE qui soit domiciliéE en France… Donc ici et maintenant, j’annonce que je cherche assez urgemment une personne qui voudrait bien se charger de cette tâche. Pour tout ce que cela implique comme obligations, les renseignements seront bien sûr disponibles en MP.

Quant à l’hiver, il est juste interminable. Comme tout le monde, les pigeons attendent le printemps…

Alithia et P’tit Loustic, c’est une histoire qui marche (par contre, pas du tout du tout avec Nekosan, qui est même le seul chat qu’elle ait mordu !)

Avec Fotia

C’est leur RDV du soir, et pratiquement chaque soir, et dans toutes les positions

L’oreille couverture ! Sympa, non ?

Elle et Lui

Mon P’tit Loustic me semblait bien apathique, un peu enchifrené, les yeux un peu cracras, donc injection d’antibio 1Xjour… tout comme Nekosan, d’ailleurs et aussi Mikroulette. Mais, pas de doute, l’hiver qui dure, c’est la maladie qui rôde. Et donc pas mal de morts, et aussi de disparus.

Ci-dessous, un chat moche. Sans nom. Il est mort. Pauvre pépère, il ne me laissait pas l’approcher quand il était encore temps, peut-être, de faire quelque chose. Et lorsque j’ai pu commencer à le toucher du bout des doigts, c’était trop tard.

Dernière image. Mince comme un couteau. Je l’ai trouvé le matin devant la porte.

Elle, elle résiste. Je ne sais pas comment. C’est la chatte qui a dormi plusieurs semaines dans un sac de croquettes (que j’ai fini par aménager, pour éviter qu’elle y bave ses virus !). D’ailleurs, elle recommence à baver, et j’ai loupé l’injection de cortisone : on est reparties pour une bonne période de « Rha, ne m’approche pas, ne me regarde même pas, vade retro ! ». J’attends qu’elle baisse la garde (aux repas en général) pour retenter le coup.

Un des très nombreux pipis du matin. Mais même si j’ai bien repéré qui les fait, à part chasser les pisseurs de la maison, qu’y faire ?

Une balade chez un ami irlandais habitant au nord de l’île, à Papouri : paysage somptueux, mais tellement aride, caillouteux, terrassé par les vents d’où qu’ils viennent, torride l’été.

Son chat très marrant, qui suivait notre balade comme un chien qui ronronnerait comme un fou !

Mark

Ici, à la dernière neige

Je l’aime !

Le petit pote d’Alithia (et qui arrive à se démantibuler pour entrer par les chatières …)

Un monstre panthère… Mes pousses de coriandre n’y résistent pas, évidemment.

Et pas que les limaces, mais aussi des millions de ces petits escargots

Ecritures du ciel

Les tempêtes successives ont été vraiment massacrantes autour de la maison. J’ai dû couper de belles et grosses branches d’un mimosa, toutes chargées de boutons, et aussi le genêt blanc qui est mort de trop d’eau l’été passé. Du coup, j’ai un peu jardiné, planté des arbres, mais je n’ai pas encore trouvé le lieu où mettre mon caroubier femelle, dont les fruits grossissent malgré tout.

Dodo en N&B : Zule, P’tit Loustic, Kéti et au 1er plan Mikroulette

My bioutifoule Bizule bizulette

La belle aux beaux yeux et la tricolore pâle, toujours aussi sauvage

L’autre nuit, je me suis réveillée en sanglotant, avec la pensée déprimante que « Bizounours Puuuuuur est mort ». Il a disparu depuis des semaines. C’était un expert ès ronrons.

Et quand le temps était humide, les petits poils de son ventre doux frisotaient incroyablement. Il arrivait toujours le soir, roucoulait et ronronnait, et son arrivée faisait « événement » : plein de chats accouraient et l’entouraient,  se frottaient contre lui, une vraie jam de ronrons, de petits miaulements, et c’était de longues minutes de mamours incroyables. Il me regardait, et il fallait que ce soit moi qui ouvre la marche pour aller dans le couloir des croquettes, où il mangeait enfin entouré de sa cour adorante. Très bizarre. Il avait un effet pour tout dire euphorisant sur les chats (j’ai quelques vidéos de ces mamours, il faudrait que je les mette sur le tube). C’était le frère de Bizounours 2 taches ci-dessous. Cette famille a quasi disparu, Mouchet-Mouchet, Bizounours 1 tache, la mère Léa, maintenant Bizounours Pur. Plus que ce Bizounours-là. Ce sont des moments où je regrette les stérilisations…

Julie, grat grat

 

Nekosan et P’tit Loustic (plutôt chouette ce qu’il se passe entre eux)

Trouvez le chien

Champi et deux Picoulets

P’tit Loustic au nid

Mes « filles » de la nuit : Mélissa et Polybelle (auxquelles se joint parfois Bouzouki Fou)

Pendant que Nekosan se chauffe DANS le lit, contre moi

Pour qui se rappelle P’tit Nouveau, là c’est Gros Monstre Patibulaire, même queue tordue mais pas même ambiance…

Nekosan

Que j’aime ce P’tit Loustic !

Voilà !!