Quelques photos de chats, quelques photos de plantes spécifiques, un peu de Syros au printemps… Continue reading
Archives par auteur : zozefine
Les soucis et les joies.
P’tit Nouveau (ou P’tit Mouillé selon les jours – et aujourd’hui pourrait être l’un de ces jours) va bien. Vraiment bien. Continue reading
Petit quotidien
Il pleut. Quand il pleut, il pleut beaucoup beaucoup. Et quand il y a du vent en plus, il pleut horizontal. Et quand il pleut, les chats sont malheureux, et moi aussi. Là, Marcel est couché à gauche du clavier, Mélissa derrière l’écran, Houdini sur ma cuisse droite, et je partage ma chaise avec François. Continue reading
Les noms des chats.
Si je m’étais arrêtée à « Chatoune », « Chaton » ou « Minette », j’aurais été bien embêtée : « Minette Douze !», « Chaton Trente-Six ! ». Nommer les chats, c’est à la fois nécessaire et, comment dire, rituel et réel. Les nommer, c’est les admettre comme existant ici, avec les autres déjà nommés. C’est les identifier et les individualiser. Continue reading
Les chats parfois se rangent par couleurs.
Je sais, ça semble idiot. C’est une juste une probabilité, avec tant de chats. Mais parfois, on se demande, quand même, s’il n’y aurait pas une petite coquetterie là-derrière. Continue reading
Copies conformes ?
Laïka et Vincent. L’un habite à Montpellier, l’autre à Chrousa. Continue reading
Riri, mon mariri
A cette heure, Riri doit être sur le billard. J’ai pris rendez-vous spécialement avec Ghiorgos. Au cabinet, deux vétos, Ghiorgos et Manolis, chacun ses défauts et ses qualités. Ghiorgos n’aime pas les chats, mais il a un diagnostic de grand ponte, et c’est un chirurgien hyper-doué. Je sentais que pour Riri, il fallait l’un et l’autre. Continue reading
Il y a des jours…
Celles et ceux qui ont ou ont eu des animaux le savent : leur mort ou leur disparition a quelque chose d’insupportable. Continue reading
Le mystère de la touffe d’herbe
Dans le champ en contre-bas, qui est encore bien vert, et qui assure aux chats un immense terrain merveilleux, plein d’herbe et de buissons, dans lequel jouer, se cacher, courir, dormir au soleil ou à l’ombre, et où Alithia peut chercher la baballe et fureter le nez au sol, des touffes très denses de graminées, encore jaunes de l’an passé, parsèment par dizaines le sol qui sera, dès mai, un véritable désert pierreux, dont la verdeur à peine passée semblera un pur rêve chlrorophyllien. Continue reading
Léa, rendue puis reprise
Léa.
Léa, Léa, Léa. Lionne. Un jour, elle n’existait pas encore, le suivant, elle était devant ma porte. Avec cet air sévère, un peu boudeur, très persan, très « Je suis là ». Une persane rousse, terriblement angora. Continue reading