Archives par auteur : zozefine

Anti-puces.

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Je commence à me faire bouffer. Et dans ce cas, j’agis. Une dizaine de pipettes d’Effipro pour chiens moyennement gros (ils n’ont pas pour taille Saint-Bernard, malheureusement), et c’est parti. Soit pendant que le chat dort, ou devant l’écuelle, ou pour les plus faciles au passage. Les seuls que j’épargne, ce sont les chats qui me semblent un peu fragiles : Loula, le Râleur, Petit Nouveau et Zozefine. Je gicle aussi quelques chats de dehors-dedans, quand ils se laissent faire : une petite période sans puces, ça doit être agréable pour eux, vu comme c’est agréable pour moi !

Ne comptez pas : 61 chats de dedans(et quelques uns de dehors, mais qui squattent et que je peux traiter), 1 chienne assez féline à sa manière, 1 humaine. Et à part ça, des chats dehors hors comptabilité…

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Marcel

Lustucrute

Riri

Aluna

Nénette

Léa

Houdini

Loulou

Zoé

Bibu

François

Lili

Agathe

Gingembre

Zule

Jean-Gérard

Petit Robert

BBB gris

Bouzouki Fou

Mélissa

Julie

Sébastien

Bob

Mikri

Bizounours 2 taches

Zim

Polybelle

Teddy

Zéfira

Kéti

Olympe

Fifi

Bizule

Elodie

Vincent

Bizounours Pur

Mikroulette

Fotia

Méli

Grand Gris

John-john

Cybèle

Gentil Garçon

Beaux Zyeux

Daisy

Gracieux Nipponais

Primus

Joli Cœur

Monostou

 

Et, bien sûr, Alithia !!

 

Restent à faire :

 

Demoiselle

Le gris et rose

Langue tordue

Emilie

La petite noire sympa

Athéna

Fille 1

Fille 2

 

Ceux qui s’en passeront :

 

Loula

Zozefine

Petit Nouveau

Le râleur

 

 

 

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Vieux Petit Nouveau.

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Je l’aime, Petit Nouveau. Les habitués du blog le connaissent.  Il a une bonne bouille, joliment rayé gris clair et gris foncé, un poil bien angora, une petite oreille plus basse que l’autre. Et j’ai l’immense joie de constater qu’il a pris du poids, à la caresse je ne peux plus compter ses vertèbres ni me cogner la main à son coccyx. Continue reading →

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Quand on a l’impression d’avoir bien fait son boulot !

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Je ne ferai pas la liste des chats et chatons que j’ai sauvés de la maladie et de la mort. Mais je crois que je les ai pratiquement tous sauvés une fois ou l’autre.  Là où la satisfaction du boulot bien fait est sans nul doute la plus intense, c’est lorsqu’un chaton à deux doigts de mourir se remet à jouer. Le chaton, ça tombe malade le matin, et parfois le soir c’est mort.  Il faut faire vite, repérer les symptômes, les micro-changements de comportement. Et lutter pied à pied contre les bactéries, les virus, les parasites. Le plus souvent, ils ont tellement envie de vivre que cela facilite les choses, les traitements parfois tellement désagréables. Continue reading →

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